Michael Schumacher est de retour !

MSL’Allemand Michael Schumacher courra pour Ferrari à la place de Felipe Massa, arrêté après son accident en Hongrie, au Grand Prix d’Europe, disputé à Valence (Espagne) le 23 août, a annoncé mercredi l’écurie italienne de Formule 1.

« L’écurie Ferrari a l’intention de confier à Michael Schumacher la voiture de Felipe Massa jusqu’au retour du pilote brésilien à la compétition », a annoncé Ferrari sur son site, selon Ansa. Le site était momentanément hors service et n’a pu être consulté par l’AFP.

Michael Schumacher, sacré champion du monde à sept reprises, avait pris sa retraite sportive en 2006. Il occupait jusqu’à présent un poste de conseiller technique chez Ferrari.

« Au fond, les défis me plaisent et ceci est un beau défi », a commenté Michael Schumacher, cité par Ansa.

« L’important est que Massa aille bien », a-t-il insisté, ajoutant qu’il était « juste d’aider la firme quand elle en avait besoin ».

Selon les informations d’Ansa, Michael Schumacher a rencontré le président de Ferrari, Luca di Montezamolo, et les responsables de l’écurie mercredi matin à Maranello. Aussitôt après, il a eu un entretien technique avec l’équipe de Massa pour arrêter un programme de préparation.

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Leçon d'économie !

Ou comment résoudre la crise :

Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu’à cause de la crise il n’y a plus de touristes. Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre. Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100. Le touriste n’est pas plutôt monté à sa chambre que l’hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros. Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l’approvisionne en viande. Le paysan, à son tour, se dépêche d’aller payer sa dette à la pute à laquelle il doit quelques passes. La pute boucle la boucle en se rendant à l’hôtel pour rembourser l’hôtelier qu’elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l’heure. Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l’hôtelier qu’il n’aimait pas sa chambre et n’en voulait plus, ramasse son billet et disparaît. Rien n’a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N’empêche que plus personne dans le village n’a de dettes.

N’est-ce pas ainsi qu’on est en train de résoudre la crise mondiale ?

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